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L-Imaginarium

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“ Premier "avis" fini ! A ton tour Saya ! ;) Après, je répond à ma super pipelette et je me met à l'écriture ! Promis ! ” - dimanche 15 avril 2018 12:25
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Création : 04/02/2014 à 03:24 Mise à jour : 15/04/2018 à 12:30

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Y Perdre des plumes - Chapitre 3


La chasse aux Faisans

 
Y Perdre des plumes - Chapitre 3 
 
 
Je fis tourner mon portable dans mes mains un paquet de fois cette après-midi là, hésitant encore et toujours. L'écran affichait Uchiwa Sasuke depuis maintenant une bonne heure et je n'arrivais pas à me décider, ressassant en boucle la situation, la meilleure attitude à adopter, ce que je devais dire... Au bout d'un moment de confiance booster je parvins tout de même à me motiver suffisamment. Aller ma grande ! Qui ne tente rien n'as rien ! Mon doigt appuya sur le téléphone vert et ma respiration s'accéléra tandis que j'approchais l'appareil de mon oreille.
 
-          Qu'est-ce que tu me veux ?
 
Mon c½ur cessa de battre et je raccrochais aussitôt en déglutissant. Bien. Très intelligent Sakura, c'est vrai que c'est une idée de génie que de raccrocher au nez de la personne à qui tu veux parler ! Nouillasse ! Je me mordis la lèvre puis rédigea rapidement un sms.
 
« Laisses-moi sur ton répondeur s'il te plaît... Je préfère lui parler en premier... »
 
Il allait me prendre pour une folle... Bon, c'était peut-être déjà le cas depuis bien longtemps, mais pour le coup, la requête avait de quoi laisser dubitatif. Priant pour qu'il accède à ma demande, je laissais les minutes défiler lentement et appuya à nouveau sur la touche d'appel. Peut-être serait-il clément ? Après tout, il m'avait bien répondu la première fois.
La tonalité s'éternisa à mon grand soulagement puis vint enfin la douce voix du répondeur. Oui ! Merci pour cette intervention divine... ou pas.
 
-          Sasuke... hum... bon bah comme tu t'en doutes c'est Sakura, en même temps mon numéro s'affiche, quand je t'appelle.              Bref ! Je ne sais pas si tu écouteras ce message par ce que je sais, par contre que tu es extrêmement énervé et c'est                      légitime. Je...suis...vraiment...désolée.
 
Comment vous décrire mon état psychologique après cela ? Comme une lourde fatigue et un sentiment cuisant d'échec. J'avais grand besoin de me brosser les dents, la langue et les cordes vocales au « Mr Propre ». Mais tant qu'on y était autant tout déballer pour éviter d'avoir à développer des excuses par la suite...
 
-          En fait, tout ceci découle d'un malentendu fortuit. Tu sais que je suis une grosse bordélique, alors évidement, la petite            enveloppe argentée, fort sympathique soit dit en passant, est un peu passé sous une tonne de notes et de cours barbants jusqu'à ce midi. Le fait est qu'Ino m'a parlé de son invitation ce matin et... et... il est possible, qu'avoir cru ne pas être invitée m'est un tout petit peu mise à cran... et ma petite cervelle c'est probablement beaucoup trop emballée.
 
Je me demandais un instant s'il ne fallait pas que j'en profite pour m'excuser de tout ce dont j'avais à m'excuser auprès de lui. Le coup du chewing-gum dans la serrure de son casier, la disparition de ses toutes nouvelles lunettes de soleil et de Bibi, son hamster - paix à son âme entre parenthèses... c'était un malencontreux accident ! - le coup de ciseaux dans sa chemise favorite, le dentifrice mélangé au gel... Oui, mes conneries étaient d'un puéril de haut niveau, mais bon...
 
-          Alors voilà, j'ai bêtement cru quelque chose de stupide qui m'a passablement vexée et... flippé aussi, je dois bien                       l'admettre. Mais je reste sur ma position concernant ton invitation VIP de Samedi ! D'ailleurs je viendrais en pull et en basket ! Na !
 
Je raccrochais précipitamment en soufflant, soudain bien plus légère. Quoi ? Je n'allais pas non plus faire ma lèche botte. Mes excuses étaient déjà un évènement historique. Avant même que je ne puisse attraper ma manette de console, la sonnette de l'entrée raisonna dans toute la baraque, me rappelant à mes devoirs d'espionne du mercredi. Je me penchais à a fenêtre pour héler la nouvelle venue.
 
-          Tenten ! Entre, c'est ouvert !
 
Un signe peace plus tard, j'entendis la porte claquer tandis que j'enfilais mes grolles pour accueillir mon invitée. La brunette
pénétra bientôt dans ma chambre tout sourire, imprégnée de la fraîcheur extérieur et d'une indicible excitation.
 
-          Prête pour la mission de ta vie ?
 
La mission de ma vie était diablement pathétique... Mais bon, après tout, je ne me destinais pas à une carrière de Spygirl. Plus maintenant tout du moins. En short-jogging et basket, sans doute pour être plus a l'aise, le réflexe prêté par Temari passé en bandoulière, mon amie avait plus le profil d'une touriste que d'une détective professionnelle mais elle passerait d'autant plus inaperçue dans la capitale.
 
-          On peut y aller !
 
Je notais le regard sceptique que la brune jeta à ma paire de vieilles tennis décrépies, mais ces chaussures m'avaient toujours servi des plus fidèlement, et étaient des plus pratiques pour se carapater si nous devions tailler la route pour une raison x ou y. Je dévalais à nouveau les escaliers et attrapais le sac que j'avais préparé depuis un moment, juste pour ce jour. Appareil photo jetable, le vieux magnétophone de mon père, les deux talkies-walkies de mon petit voisin, une paire de jumelles retrouvées dans le grenier, mon fidèle calepin que je n'avais plus touché depuis la cinquième et mon crayon fétiche à l'effigie d'Inspecteur Gadget. Je dois avouer que ça avait plus la gueule d'un sac de centre aéré mais n'étais-je pas une grande et éternelle enfant ? Je balançais le tout sur mon épaule et me jetais dehors suivi de ma comparse, attrapant les clés du domicile au passage.
 
Et ce fut le début de notre première collaboration dans le monde de la planque. Je m'imaginais déjà notre avenir dans la carrière. Un bureau a l'ancienne dans un vieil immeuble qui ne payait pas de mine. La mention « Haruno and co. » sur la vitre floutée de la porte – quoi que je devais m'attendre à des objections quant au nom de l'entreprise – et une lampe de
bureau verte et or illuminant une vieille machine à écrire noir, le tout englobé par l'âpre fumée de cigarette.
 
Plongée dans mon délire, j'eu de la chance de convoyer avec une personne un peu plus attentive qui me tira brusquement de
la trajectoire d'un abribus. Décidément...
 
-          Sérieusement, le lampadaire et la paillasse de biologie ne t'ont pas suffi ?
 
Je réajustais ma veste d'un coup d'épaule en grommelant. Bon aller... Au travail ! Autant vous dire que l'exercice fut particulièrement distrayant ! Sachant que Tenten avait une dent contre son paternel depuis ses huit ans environ, la peur de se retrouver face à une scène des plus compromettantes n'était pas de mise, celle-ci était même attendue dans les plus brefs délais.
 
Nous avions pris le bus jusqu'au centre-ville puis nous l'avions attendus au pied de l'immeuble où il travaillait, une entreprise aux actions frauduleuses (dossier prochainement traité). Les jumelles ne nous furent d'aucune utilité puisque miss Tenten avait totalement zappé que le bureau de son père se trouvait tout simplement du côté cours et non du côté rue comme elle me l'avait certifiée cinq minutes plus tôt.  Notre aimable papounet finit par pointer son nez hors du building et s'installa au volant de sa voiture de sport flambant neuve. No problem. Nous avions prévu le coup. Je sortis de ma poche intérieure de veste un petit portefeuille noir où je stockais les économies de longues semaines de travail tandis que mon acolyte hélait un taxis. J'avais toujours rêvé de sortir la cultissime réplique « suivez cette voiture ! » Malheureusement, Tenten me coupa l'herbe sous le pied sans aucune gêne. Note a moi-même : pensé à l'emmurer vivante au retour...
 
Le taxi nous déposa devant l'un des bars les plus côtés de la ville, il était quinze heures trente... Alcoolisme, quand tu nous tiens ! Nous descendîmes et Tenten mitrailla la voiture de son père garée juste devant le pub puis réussit à prendre quelques clichés de la cible dans l'établissement et je décidais de l'imiter. On ne sait jamais, des fois que l'appareil de Temari vole en éclat dans un ultime affrontement où nous aurions été prises la main dans le sac par Mr Tsuyu... Oui, je me fais beaucoup de film. Et puis, si une telle chose arrivait, j'aurais personnellement plus à craindre de la réaction de la propriétaire du reflex, que de celle du poivrot que nous suivions. Nous jouâmes donc les paparazzis de longues minutes sous les regards interloqués des passants. Bien, pour la discrétion, on repassera.
 
La cible sortit une heure plus tard du bar et reprit sa voiture. A partir de là, je me suis dit qu'avec trois grammes dans chaque ½il, le bonhomme aurait sans doute bien du mal à nous chopper la main dans le sac... Nous reprîmes le taxi où je put sortir ma réplique fétiche sous le regard médusé de Tenten et le gentil monsieur nous laissa au détour d'un des entrepôts jouxtant les quartiers chauds de la ville. Oui, par ce qu'il y a des quartiers chauds à Konoha. La voiture noire était là, laissée à l'abandon par son propriétaire dans un des coins les plus mal famé de la capitale, le genre d'endroit où on laisserait difficilement sa trottinette.
 
Nous n'eûmes pas à aller très loin. Sur un air de mission impossible fredonné par mes soins, nous passions d'entrepôt en entrepôt, nous plaquant aux murs rouges de rouille ou noirs de crasse pour ne pas nous faire repérer. D'ailleurs, Tenten dût balancer un sourire gêné et bêta à une passante qui nous fixait, dubitative. Nous repérâmes enfin notre cible au bout de la troisième traversée à découvert. Nous prîmes en c½ur des clichés mémorables. Je doute que les petits sachets en plastique, échangés moyennant finance contiennent du sucre... et puis quand bien même, le sucre ne s'échange pas derrière des bâtiments désaffectés, à l'abri des regards... Sauf si l'on achète la brique de sucre en poudre, rose bonbon, Sugar Bunny alors qu'on a dix-sept ans... Il n'y a pas de vécue derrière cette exception... Je vous le jure...
 
Franchement, je n'avais jamais vu rythme de vie plus cliché, de l'alcool à la drogue dure, en passant par un taff vraiment pas net sous des airs de bon salarié... Profil type d'un mafieux en puissance, un mafieux solitaire qui tentait d'obtenir la garde de son fils sans ne rien changer à son quotidien de débauche. Allez comprendre. Je ne trouvais moi-même pas d'explication à ce comportement paradoxal, et j'avais l'impression de tomber dans le panneau d'une farce grossière. C'était un peu trop facile, un peu trop gros. Qu'a cela ne tienne, nous décidâmes tout de même de rentrer.
 
-          Bon, je ne ferais pas de filature tous les jours...
-          On n'a même pas utilisé les talkies-walkies.
-          Je suis même pas sûr qu'ils marchent de toute façon...
-          T'as noté le nom du Pub et le nom de cet endroit ?
-          Affirmatif ! Je pensais pas que ce serait si facile... A croire qu'il accumule les vices exprès.
-          Non, ça c'est juste mon père. Complètement à côté de la plaque et pas du bon en plus. De toute façon il s'est toujours             cru intouchable alors se méfier de deux frêles et innocentes jeunes filles comme nous...
 
Frêles et Innocentes jeunes filles... à quel moment ce descriptif aurait des chances d'être crédible vous croyez ? Tenten soupira en enlevant sa veste de survêt' pour ne laisser qu'un fin marcel noir, orné de cigle creepy, la couvrir par cet après-midi hivernal. En d'autre circonstances, j'aurais frissonné et lui aurais hurlé de se rhabiller sous peine de l'étouffer avec son gilet, mais à cet instant il était vrai que notre petite course-poursuite m'avait aussi donné chaud... Je décidais d'abdiquer en faveur de la brune et dézippai la fermeture éclair de ma veste en tweed pour soupirer d'aise sous l'assaut de l'air frais. Va pour la pneumonie.
 
-          Un vrai spectacle mesdemoiselles ! Vous pouvez continuer, je vous en prie...
 
Oh misère... Le malaise me gagna avant même que je n'ai eu le temps de porter mon attention sur les deux hommes qui squattaient les abords du parking que nous traversions. Bien sûr, quitter cette partie de la ville sans encombre ne pouvait pas être super-simple, non...pas avec nous. Pas avec moi.
 
-          Ah. 'Scuzez du dérangement, on s'est égarées, balançais-je en tirant Tenten à ma suite.
-          Eh bien, on va vous aider à retrouver votre chemin, c'est notre jour de bonté...
 
Je ne sais pas si c'était sa tronche et celle de son acolyte qui alerta mes sens mais ses propositions de bons samaritains ne convainquirent même pas une fibre de mon humble personne et la crainte s'immisça dans ma poitrine. Deux jeunes filles, seules, dans un quartier quasi désert, ça ne le faisait pas, mais alors vraiment pas.
 
-          Ça va aller, ne vous occupez pas de nous ! Continuez vos petites... affaires.
-          Hey ! Attendez un peu, je suis sûr qu'on peut vous être utiles !
-          Laisse tomber Deidara, elles ne sont plus sur le marché et tu risquerais d'y laisser une vie.
 
Ce simple timbre de voix annihila tout sentiment de panique se substituant à une joie incommensurable raisonnant à la familiarité qui en découlait. A cet instant je crois que tout ce qu'avait pu me faire subir les Uchiwa fut effacé de ma mémoire. Compteur à zéro et énorme soulagement ! Dieu existait et son messager n'était autre que...heu...
 
-          Oh bon Dieu Itachi ! Je te voue un culte !
-          Très heureux de te revoir également, Sakura...
 
Oï... J'avais oublié de réfléchir avant de dégoiser. Erreur fatale.
 
-          Hé, attend une minute... Tu viens bien de nous comparer à de la breloque de marché là, je n'ai pas rêvé ?
-          Tenten, ça fait longtemps dit moi.
-          Ça ne change rien au fait que j'ai eu l'impression d'être un gigot à bas prix pendant un instant.
-          Bêle un peu pour voir... ? raillais-je.
 
La brune me décocha un coup d'épaule. Bon d'accord, j'avoue qu'elle n'était pas drôle mais y avait-il quelqu'un pour détendre l'atmosphère autre que mon incommensurable humour à trois francs six sous ?
 
-          Bon, Itachi, ce n'est pas qu'on trouve ta rencontre plus embarrassante que notre présence ici, mais on aimerait rentrer,               alors sur ce...
-          Hep ! D'abord vous m'expliquez ce que font deux demoiselles comme vous dans les environs, ce n'est pas vraiment un            chemin de ballade habituel... ni une réserve ornithologique, marmonna-t-il finalement en fixant mes jumelles.
 
Nous nous entre-regardâmes brièvement sans savoir comment expliquer notre petite expédition de façon naturelle et non ridicule. Ce fut tout bonnement mon esprit décérébré qui trouva la solution...
 
-          Nous étions à la pêche aux infos compromettantes sur son paternel alcoolique et apparemment drogué au sucre Sugar            Bunny.
-          Et nous somme tombé sur Mr pub Colgate et sa bande... enchaîna Tenten.
-          Avant d'être sauvé par sieur Uchiwa dans sa grande bonté, j'en suis sûre, grandement intéressée.
 
Ça c'est de la collaboration ! Je suis sûre qu'on pourrait s'organiser un petit One man show fort sympathique toute les deux.... La bande de tronche de cake nous fixa d'un ½il plutôt interrogateur, n'ayant probablement capté que le quart de ce que nous avions déblatéré. Personnellement, dans leur cas, je serais resté sur cette histoire de Bunny.
 
-          Laissez-moi vous présenter Haruno Sakura et Tsuyu Tenten, deux amies de mon frère.
-          Sacré numéro, on peut avoir des places pour la prochaine représentation ?
-          Allons... ce n'était qu'un petit extrait... sinon je me produis tous les jours de huit heures à dix-sept heures au lycée                   publique du quartier Est, salle 215.
 
Prochaine étape : monnayer mon quotidien palpitant et mes expressions célébrissimes. Je venais de trouver la rançon du succès. Malheureusement pour moi et mes projets de jeune business woman en bon essor, je fus traînée de force par ma coéquipière à la suite d'Itachi pour rentrée dans nos pénates. Nous montâmes donc dans le véhicule de l'aîné Uchiwa après avoir salué sa bande louche - Kisame, dont la tête me disait vaguement quelque chose, Deidara, que je craignais désormais de retrouver planqué dans ma cave un jour et Sasori, qu'il me semblait avoir déjà vu également- et quittâmes le nord de la ville pour les quartiers plus aisés.
 
-          Dis moi Itachi, est-ce que l'on peut savoir ce que t'as voulu imager en nous comparant à des fruits et légumes bio ?
 
Très bonne question partenaire ! Risquée mais bonne, sachant que le seul marché sur lequel on m'avait mise à prix un jour était celui de l'enfant le plus exaspérant.
 
-          Ça me paraît évident, au vu de tes sentiments pour le petit Hyuuga, et puis je ne suis pas sûr que les badineries avec mes             potes t'intéressent des masses.
 
Le regard de mon amie se vida complètement de toute conscience et ses pommettes se colorèrent si rapidement que j'en eut mal pour elle. Houlà... J'ai perdu Tenten. Raah ! Non ! Itachi ! Laisse-moi ma camarade de jeux vidéos !
 
-          Bon et puis Sakura, on ne va pas te faire un dessin...
 
Je quittais immédiatement le visage décomposé aux yeux de poisson frit de ma coéquipière pour porter mon attention sur le brun, méfiante... Si, je voulais bien un dessin, histoire de te le faire bouffer.
 
-          Ce serait trop vous demander que de faire preuve d'originalité dans vos suppositions de cupidon du dimanche ? Je                   vais finir par croire que Sasuke est le dernier mec sur terre. Ce serait flippant.
-          Qui te parle de cette andouille de Sasuke ? Je te parlais de moi.
-          J'admire ton originalité mais Fuck you Itachi.
 
J'aurais dû me douter aussi qu'il ne plaiderait pas en faveur de son frangin. Je vous jure si dans quarante ans je me retrouve mère de petits Uchiwa, je hurle au complot divin ! Cette famille me rend dingue, on dirait même leur spécialité sportive.
 
-          Et toi, que faisais-tu dans cette partie de la ville ?
-          Ça, tu n'as pas à le savoir.
 
Nous nous entre regardâmes sceptiques. Alors comme ça monsieur pensait pouvoir nous soutirer des infos sans le moindre rendu. Je pensais qu'il me connaissait depuis le temps... Qu'il nous connaissait. Tenten s'avança entre les deux sièges avant pour jouer de sa voix suspicieuse et flippante.
 
-          Itachi...
-          Je me baladais avec des amis, ça ne vous arrive jamais ?
-          A d'autres ! Ca pue l'imposture !
-          Franchement, les filles, vous croyez vraiment que je vais vous révéler ma présence en ces lieux mal famés ? C'est mal               me connaitre.
 
C'est qu'il était duraille en affaires le jeune homme ! C'était de famille d'ailleurs mais bon Dieu je ne pensais pas devoir abattre ma carte chantage si rapidement... il ne me laissait pas le choix. Aux grands mots les grands remèdes comme on dit.
 
-          Tu sais, ça fait longtemps que je n'ai pas vu tes parents...
 
J'eut le droit à un bref regard en coin quelque peu interdit, surement ne s'attendait-il pas à ce que je m'acharne sur ce mystère mais ça, c'est également mal me connaître mon grand.
 
-          Ils seraient peut-être temps que j'aille leur rendre une petite visite de courtoisie, tu ne crois pas ? Je suis sûr que nous
           aurons plein de choses à nous dire...
 
Nous le vîmes frissonner. Les parents d'Itachi et Sasuke ne blaguaient pas avec l'éducation. Les pas de travers coûtaient cher, et quelque chose me disait que notre conducteur n'était pas fou de joie à l'idée de payer pour ses secrets.
 
-          Sakura ! C'est déloyal comme méthode !
-          C'est parfaitement loyal dans le monde de l'embrouille qu'est le nôtre mon cher. Tu as voulu jouer, jouons !
 
Attendez... J'ai comme une impression de déjà-vu... Woups !
 
-          Non, en fait, ne jouons pas, réponds juste à la question, rectifiais-je précipitamment
 
Tenten me lança un regard en biais sans équivoque que j'ignorais proprement.
 
-          Et puis merde, je ne risquerais pas ma peau avec toi... J'essaye d'aider un ami peu fréquentable dans la panade.
-          Peu fréquentable ?
-          Tu connais les restrictions sociales que m'impose mon père. Les études, les activités extérieurs, l'ambition, ce genre                 de choses...
 
Oh que oui j'en avais connaissance. E n'était pas comme si mes deux amis ne s'en étaient jamais pleins. La mauvaise image dont bénéficiait nombre de personnes auprès du paternel pour ne pas avoir choisi d'étude flamboyante, avoir joué quelques cartes illicites ou se contenter de la facilité d'un business peu engageant. Le travail de nuit d'Itachi avait d'ailleurs eu bien du mal à passer auprès de ses géniteurs. Nous arrivâmes enfin chez Tenten qui sauta de la voiture toute joyeuse en brandissant son appareil photo, fit un dernier cliché de nous et nous salua rapidement avant de tourner les talons.
 
-          Fais gaffe Tenten, ces photos pourraient bien valoir des millions dans quelques années !
-          J'en suis persuadé Itachi ! C'est pour ça que je les prends !
 
Il ricana et redémarra rapidement... dans le mauvais sens.
 
-          Euh... Itachi, je ne voudrais pas mettre en doute ton ô combien somptueux sens de l'orientation mais tu sais que                       j'habite de l'autre côté du quartier ?... Tu sais que j'habite de l'autre côté du quartier, réitérais-je, blasée.
-          Effectivement, je le sais fort bien mademoiselle mais ce n'est point notre destination.
-          Oh non ! Oh non non non ! Je vais déjà y passer le week-end à cause de ton stupide frère et de mon connard de prof de             bio alors tu ne m'emmène pas chez toi ! Ou où que ce soit d'autre d'ailleurs sauf à ma maison !
-          Essaye un peu de m'en dissuader...
 
... J'étais mal barrée. A force de protestation et grand renfort d'arguments tous plus désespérés les uns que les autres, je ne vis même pas le trajet passer et la voiture se gara finalement et bien malheureusement devant la maison de mon conducteur. Mon regard balaya l'habitation avec curiosité et intérêt. Eh bah, mes aïeux, si ça ce n'est pas de la baraque de famille friquée... Les professions trop rémunérées devraient être interdites de lien marital, sérieusement, c'est frustrant.
 
-          Tu comptes camper dans la voiture ou... ?
-          Affirmatif ! Jusqu'à ce que tu me ramènes chez moi.
-          Bien, on va faire un pacte.
 
Un pacte ? Non mais il pensait vraiment que j'allais accepter de pactiser avec son être diabolique ? Je crois bien que lui aussi avait abusé de la poudre Sugar Bunny... En même temps me laissait-il le choix ? Je crois bien que non. Non... Non, décidément, non, je n'avais pas plus le choix qu'une dinde devant un four le jour de Thanksgiving. Pourquoi je sens que je vais le regretter ?
 
-          Non Itachi, je ne fais ni pacte, ni jeu, ni pari.
-          Tu n'as pas le choix, j'ai les clefs de ton unique moyen de locomotion, me rappela-t-il en balançant les dites clef à bout de               doigts.
-          Je ne vois pas l'intérêt d'un arrangement sous contrainte.
-          Je promets de te rapatrier dès que mon frère sera rentré et de ne plus jamais te tendre de piège.
 
Très bien, ça c'était utile comme contrepartie.
 
-          Accouche.
-          Tu te souviens certainement de la fois où Sasuke m'a piqué la dernière côtelette chez Naruto...
 
Oh que oui, je n'aurais jamais cru qu'une fourchette puisse devenir une arme si terrifiante. Je m'en méfierai presque plus que d'un couteau maintenant. Attendez voir...
 
-          Tu es en train de me comparer à une côtelette là, j'ai pas rêvé ? Non mais t'as mangé ce midi ? Parce que les analogies             avec la bouffe ça me donne faim perso, alors faudrait peut-être penser à arrêter.
  
L'aîné Uchiwa me fixa un long moment sans ciller et je finis par soupirer en tapant dans sa main. Il me sortit l'un de ses plus beaux sourires carnassiers et nous descendîmes de voiture. Maître des lieux, Itachi traversa négligemment l'allée et entra dans sa majestueuse demeure comme de rien. Et moi j'avançais comme si le moindre pas de travers allait faire effondrer l'immense bâtisse. Voyant que je ne suivais pas, Itachi se retourna vers moi et me jaugea d'un air intrigué.
 
-          Sakura... C'est de la pierre, pas du cristal de baccarat...
 
Bordel ! Non mais et la compassion alors ?
 
-          Pourquoi ? C'était pas assez tendance ?
-          Arrête tes bêtises et viens.
 
J'augmentais la cadence mais passa l'entrée avec douceur et délicatesse. Non que je n'aie jamais mise les pieds dans une maison de cette taille mais le jardin était si bien entretenu, la façade si propre et le gravier si bien disséminé que j'avais la trouille de déplacer ne serait-ce que le moindre petit caillou.
 
-          Bienvenue dans notre humble demeure ma chère.

Le malaise... Ma mère était une maniaque fervente pratiquante et je venais sans doute d'entrer dans son paradis terrestre. J'avais juste envie de flotter dans les airs pour ne pas même laisser une emprunte sur ce beau parquet ciré. Non, décidément non, nous ne vivions pas dans le même monde.

-          Joli ! Je saurais comment m'habiller pour être assortie au mur maintenant ! Tu me ramène ?
-          Et puis quoi encore ? Tu me dois ta compagnie jusqu'au retour de Sasuke.

Il va vraiment falloir que je trouve une amulette pour me protéger de cette famille, bientôt j'en serai à revendre mes reins pour pouvoir rentrer chez moi. Mon hôte traversa le salon pour me guider jusqu'à la cuisine. La cuisine ça avait toujours été ma pièce préférée, celle que j'emmènerais avec moi sur une île déserte, celle que j'investirais en cas d'invasion de zombie, bref, vous l'aurez compris, c'était mon indispensable et d'ailleurs mon popotin en était la preuve irréfutable.
 
-          Si tu comptes m'acheter avec de la nourriture, je te préviens d'avance que ce sera un échec...
-          Voyez-vous ça ? Alors arrête de lorgner le bocal à cookie, tu seras plus crédible.
 
Zut.
 
❈❈❈
 
 
Bon, je pense que mon image de grosse morfale est assez bien imprimée dans l'esprit d'Itachi... J'ai légèrement envie de vomir par contre.
 
-          Pour un peu je te soupçonnerais d'être enceinte. J'espère juste que ce n'est pas de mon frère.
 
Houlà... J'espère que sa chemise n'était pas de marque parce que tout ce qui se trouvait, à cet instant, dans ma bouche, se retrouva proprement propulsés sur l'habitant des lieux... En mode bug, option perplexité, Itachi restait les yeux rivés sur la catastrophe.
 
-          Oh bon sang Sakura...
-          C'est ta faute ! Quelle idée de me sortir un truc comme ça alors que je suis en train de manger ?
 
Le beau brun soupira de dépit. Oui bon, j'aurais peut-être dû me tourner vers le lavabo mais sa chemise me donnait bien envie de... oh misère...
 
-          Toilettes ?
-          ... A l'étage, deuxième porte à gauche.
 
Laissant là un Itachi médusé, je m'éclipsais sans demander mon reste, priant pour contenir le... bah le contenue de mes tripes, jusqu'aux waters. J'arrivais enfin à destination et put laisser libre cours aux soubresauts et aux torsions de mon estomac. Depuis quand mon meilleur guerrier rendait les armes en plein combat ? Ça n'avait aucun sens ! Itachi frappa à la porte quelques secondes plus tard pour s'enquérir de mon état. Situation vachement gênante tout de même.
 
-          Sakura ? Ça va ?              
-          T'en a d'autre des questions stupides comme ça ?
-          Je peux entrer ?
-          Non !
 
Note à moi-même : ne jamais crier lors d'une rébellion gastrique... Itachi entra dans la pièce et se précipita pour maintenir ma chevelure rose hors de portée de la cuvette désormais brunâtre. Il faudrait que je lui apprenne la signification du mot « non » un jour...
 
Quelques alléchantes et appétissantes régurgitations plus tard, je récupérais le papier toilette qu'Itachi me fourra dans la main et me redressa pour me laisser choir sur le carrelage frais de la salle de bain. Le brun s'accroupit à son tour à mes côtés l'air passablement inquiet. Il est tellement choupi trognon comme ça ! Wow. Plus jamais de cookie seigneur...
 
-          Tu vas bien ?
-          Ouais, enfin normalement, si mon estomac me laisse souffler un peu...
-          Eh beh...J'ai bien cru devoir te faire ravaler tes boyaux un à un.
 
Charmant... et le but, c'est quoi ? Que je dégobille à nouveau ? Enfin, au point où en était sa chemise, je pouvais bien lui redessiner le futal et les pompes pour un maigre supplément...
 
-          Bon, et maintenant on fait quoi ?
-          Je te ramène chez toi, pas la peine que tu repeignes la baraque... La couleur laisse à désirer et l'odeur aussi.
 
On en reparlera quand tu seras à ma place casanova...
 
-          Mais qu'est-ce que vous foutez là ?
 
Alors que je réfléchissais au meurtre parfait, méthode express pour Uchiwa gravement atteint, son cadet décida enfin de se pointer. Légèrement essoufflée, encore son blouson sur le dos, Sasuke dégageait la fraicheur ramenée de l'extérieur, apaisant ma gorge enflammée.  Nos deux regards interloqués furent assez éloquenst pour qu'il ne cherche pas à comprendre plus loin.
 
-          Mais ça sent la gerbe !
 
Ah oui, aussi... Non content d'être le responsable de ce malheureux incident, Itachi me pointa dignement du doigt. Judas ! Le regard intrigué de mon camarade de classe se posa sur moi.
 
-          T'es malade ?
-          On va dire que les scores sont à 1-0 pour le bocal de cookie...
-          Elle est malade.
-          Je ne suis pas malade ! Physiologiquement du moins.
 
J'ai jamais été malade ! Pas même une petite angine ! Oui, je sais, ne jamais dire jamais...phrase totalement absurde quand on y pense.
 
-          Sakura, quand on sort manger il te faut quasiment plus de kilos de bouffe pour être rassasiée que de bol de ramen                   pour contenter Naruto. Alors, à mon avis, ce qu'il y a dans ma cuisine ne pourra jamais venir à bout de ton estomac.
 
D'accord. Mais je n'étais pas malade. Sans doute une over-dose de phéromone Uchiwesque maintenant que j'y repense... Non ! Mieux ! Une putain d'allergie à la gente masculine de cette famille ! C'était pas mal comme hypothèse.
 
-          Bon, je la ramène et toi tu vas te changer...Tu as... un truc... sur ta chemise, indiqua-t-il à son fère.
-          Oui bon bah ça, je l'avais senti, merci...
-          Hem... Si tu n'y vois pas d'inconvénient, j'aimerais d'abord me brosser les dents. Non que le fait de t'asphyxier                        pendant tout le trajet ne me déplaise, mais... Comment dire ? J'ai comme l'impression d'avoir mastiqué un ½uf pourri roulé dans de la vinaigrette et trempé dans de la sauce barbecue...
-          Je vais vomir...
-          Profites-en, tant qu'on est dans le thème.
 
Sasuke soupira puis se retourna pour ouvrir un des tiroirs de la commode siégeant à côté de la porte. Il en tira une brosse à dents flambant neuve dans son étui de luxe carton-plastique et me la tendit. Il dût interpréter mon regard circonspect rivé sur le tiroir d'où avait été extirpée la brosse que j'avais désormais en main, car il détourna les yeux l'air gêné.
 
-          Quoi ?
-          Dites-moi que vous vous amusez juste à faire des collages en poils de brosse à dents.
 
Itachi, qui était entrain de retirer sa chemise pour exhiber ses pectoraux et abdos parfaits à ma vue de jeune vierge prude... Oh putain, mais tourne les yeux Sakura et relance ton cerveau !  Attendez, c'est que j'étais une jeune adolescente bouillonnante d'½strogènes moi ! J'étais sensible après tout... Cet apollon sadique et pervers ricana et afficha un petit sourire aguicheur que j'avais maintes fois eut le loisir d'admirer sur sa face.
 
-          Faut bien être prévoyant.
-          Parce que c'est courant de larguer ses boyaux dans vos toilettes ? Y'a un abonnement ?
-          Non. Il arrive juste que certaines personnes passent une nuit ici, m'expliqua Sasuke.
-          Certaines... amies... précisa son ainé.
 
Je jetais un ½il au tiroir maudit.
 
-          Au risque de dire une connerie le « ce n'est pas souvent que j'invite quelqu'un» c'était pour me voir verser une                          larme compatissante ? grognais-je à l'attention de mon camarade de cours.
 
Pour toute réponse ce dernier pointa son voisin du pouce et le concerné passa en revue toute la pièce pour éviter mon regard dépité scrutateur.
 
-          Ça me fait quand même quelque chose que l'une d'elles finit entre tes mains... déclara-t-il enfin l'air de rien.
 
Wow ! Non mais c'est quoi ce délire ? Je fixais l'objet avant de le lâcher d'un geste compulsif et de reculer précipitamment comme s'il venait de me cracher au visage.
 
-          Très bien, Sasuke, tu me ramènes, et toi, tu ne m'approche plus !
-          Rho ! C'était une blague, Sakura !
-          Ce serait plus convaincant si je ne te connaissais pas tant.
 
Il avait bien essayé d'emballer Temari, Tenten et Hinata. Et puis, si l'on partait du principe qu'un Uchiwa était un chasseur, moi, eh bien... J'étais le faisan.
 

 
                                                                                                                         
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#Posté le jeudi 17 avril 2014 11:17

Modifié le jeudi 27 juillet 2017 17:12

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L-Imaginarium, Posté le mardi 25 avril 2017 04:23

characterslovers67 a écrit : "Salut!!! J'aime bien ta fiction un peu de fraîcheur dans tout les stéréotypes que sont les school-fic. Mais bon il y a une question qui me tracasse. Comment diable peut-elle résister à ITACHI????. C'est quand même ITACHI QUOI!!!! Comment fait-elle??? Je veux le secret. Moi je serai déja tombée en pamoison devant lui. Trop forte la fille. Même si sasuke n'est pas mal aussi quoi ( bon faut que je me réveille un peu :-D ) enfin bref bravo pour cette magnifique fic."

Coucou !
Ahah ! Tu m'as tuée de rire ! XD Je ne sais absolument pas, je comprends pas moi même... C'est comme avoir du chocolat au lait aux éclat d'amande grillés et de préférer du 70% aux copeaux de cocos... Elle est peut-être allergique aux arachides ? '-' M'enfin, elle aura trouvé un traitement dans pas longtemps ;)
Merci beaucoup ! En espérant ne pas t décevoir par la suite !


characterslovers67, Posté le lundi 12 décembre 2016 09:14

Mon Dieu phéromone Uchiwesque. Je vais vraiment exploser 😂😂😂😂😂


characterslovers67, Posté le lundi 12 décembre 2016 08:44

Salut!!! J'aime bien ta fiction un peu de fraîcheur dans tout les stéréotypes que sont les school-fic. Mais bon il y a une question qui me tracasse. Comment diable peut-elle résister à ITACHI????. C'est quand même ITACHI QUOI!!!! Comment fait-elle??? Je veux le secret. Moi je serai déja tombée en pamoison devant lui. Trop forte la fille. Même si sasuke n'est pas mal aussi quoi ( bon faut que je me réveille un peu :-D ) enfin bref bravo pour cette magnifique fic.


Lia-chan-fictions, Posté le samedi 02 août 2014 22:06

Chrome-chan a écrit : "Comment elle peut résister à Itachi Uchiwa? C'est pas humain!! Remarque elle a été tentée par le torse *^*"

Je ne sais pas... Moi je lui aurais sauter dessus en mode sangsue mutante... Ce mec est juste "Gwarg !"


Lia-chan-fictions, Posté le samedi 02 août 2014 06:53

sasusaku000 a écrit : "Itachi... Dieu vivant *.*"

N'est ce pas ? ;p Mort aussi c'est un dieu tu me diras ! XD


sasusaku000, Posté le jeudi 31 juillet 2014 22:46

Itachi... Dieu vivant *.*


Chrome-chan, Posté le mercredi 30 juillet 2014 15:03

Comment elle peut résister à Itachi Uchiwa? C'est pas humain!! Remarque elle a été tentée par le torse *^*


Lia-chan-fictions, Posté le lundi 05 mai 2014 05:23

ptite mouche a écrit : "Coucou :)
Euh voila je voulais te dire que je suis ta fiction avec fanfic.fr et comme je n'est pas trouver ou posté les commentaires ( oui internet et moi fait 100 ) j'en fait un rapide maintenant.
Tout d'abord ta fic est TRÈS bien écrite, c'est un véritable régale de te lire. Et ensuite ton histoire est supère drôle, a chaque fois que je lis un nouveaux chapitre je suis pliée en deux, c'est vraiment agréable. Les caractères de tes personnages sont, sans pour autant copier coller avec le manga, très proche et en même temps avec une part à eux qui les rends unique. Je sais pas trop si j'ai réussie a me faire comprendre, ma phrase est tournée bizarrement.
Tout cela pour dire que j'adore se que tu fait et que je te soutiens. Bonne continuation et bonne chance pour la suite de ta fics ainsi que les autres histoires que tu créées.
Big kiss
"

Coucou !

Waouw ! Quel commentaire ! Oo
Pour Fanfic fr ne t'en fait pas tu es loin d'être la seule et j'en est déjà référé à Pulsar-san donc peut-être aurons-nous un changement dans la nouvel version ^^ Le lien de commentaire est juste en dessous du liens << (Préc)
Brefouille ! J'ai compris ta phrase ne t'en fait pas ! XD ça me fait super plaisir de voir que tu accroches toujours à ma fic au fils des chapitres !
Un énorme merci pour ton soutien et ce magnifique commentaire ! A bientôt j'espère !
Milles Bisouxes !


ptite mouche, Posté le dimanche 04 mai 2014 18:57

Coucou :)
Euh voila je voulais te dire que je suis ta fiction avec fanfic.fr et comme je n'est pas trouver ou posté les commentaires ( oui internet et moi fait 100 ) j'en fait un rapide maintenant.
Tout d'abord ta fic est TRÈS bien écrite, c'est un véritable régale de te lire. Et ensuite ton histoire est supère drôle, a chaque fois que je lis un nouveaux chapitre je suis pliée en deux, c'est vraiment agréable. Les caractères de tes personnages sont, sans pour autant copier coller avec le manga, très proche et en même temps avec une part à eux qui les rends unique. Je sais pas trop si j'ai réussie a me faire comprendre, ma phrase est tournée bizarrement.
Tout cela pour dire que j'adore se que tu fait et que je te soutiens. Bonne continuation et bonne chance pour la suite de ta fics ainsi que les autres histoires que tu créées.
Big kiss


Kpop-love-BlockB, Posté le jeudi 17 avril 2014 16:41

XDDD


Lia-chan-fictions, Posté le jeudi 17 avril 2014 15:51

Kpop-love-BlockB a écrit : "Ce chapitre juste trop marrant! XD Surtout le passage du vomis, j'était dead!"

Merci ! :) Arf ! Moi j'ai faillis dégobiller en l'écrivant ! x)


Kpop-love-BlockB, Posté le jeudi 17 avril 2014 12:49

Ce chapitre juste trop marrant! XD Surtout le passage du vomis, j'était dead!


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